Portrait chinois : Maxime Moisand

Au tour du capitaine Maxime Moisand de se dévoiler à travers un nouveau portrait chinois sur notre site !

Si tu étais un pays ? La France. Vu la beauté de certains paysages, je pense qu’on n’a rien à envier à d’autres pays.

Si tu étais une ville, un lieu ou une région ? La Corse. Je suis pas mal allé là-bas. J’y ai de la famille. C’est vraiment un endroit que j’adore.

Si tu étais un monument historique ? Le château de Versailles. C’est magnifique. On voit que ce qui se faisait avant était incroyable. Et il est dans un état remarquable.

Si tu étais un personnage historique ? Léonard de Vinci. Pour sa créativité, son génie, son ingéniosité.

Si tu étais un plat ? Les oreilles d’âne. Ce sont des raviolis aux épinards. C’est un plat typique de la région de Grenoble.

Si tu étais une boisson ? Le vin rouge. Pour sa complexité, ses différences de goût, de senteurs. C’est quelque chose que j’ai découvert depuis que je suis à Bordeaux.

Si tu étais une saison ? L’été, sans problème ! J’adore la châleur, vivre en tongues et en short.

Si tu étais un animal ? Le lion, sans hésitation. Cet animal me fascine. J’ai eu la chance d’en voir en Tanzanie et j’étais comme un enfant devant eux.

Si tu étais un arbre, une plante ou une fleur ? Un cocotier. Ca me rappelle les noix de coco et le soleil.

Si tu étais une couleur ? Le marron parce que c’est la couleur du bois et j’aime beaucoup le bois.

Si tu étais un livre, un journal ou un magazine ? « L’Equipe. Mon père le lit depuis 40 ans. Je vais lui faire honneur.

Si tu étais un film ? « Le dîner de cons ». C’est une référence. Honnêtement c’est un des films que je me suis régalé à voir et à revoir.

Si tu étais un acteur ? Denzel Washington. C’est pour moi l’acteur le plus marquant.

Si tu étais une série télévisée ? « True detective ». Il y a eu 3 saisons. Je n’ai pas vu la dernière, mais j’ai surtout adoré la première avec Matthew McConaughey et Woody Harrelson.

Si tu étais un sentiment ? La joie. J’adore être de bonne humeur, rigoler.

Recueilli par Claude Canellas