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Pour Maxim Lamarche, les deux derniers matchs de la saison à Nice mercredi et face à Briançon vendredi, importants pour garder la troisième place du championnat, sont deux tests avant de débuter les playoffs en fin de semaine prochaine.   

Il vous reste deux matchs cette semaine avant la fin du championnat, deux matchs pour garder la troisième place que vous allez disputer contre deux équipes qui jouent leur place en playoffs. Ce n’est pas forcément un cadeau… 

Maxim Lamarche : « Ça va être des matchs difficiles mais je pense que c’est une bonne chose pour nous d’avoir des matchs comme ça avant les playoffs. Ça va être deux gros matchs contre des équipes qui jouent un peu leur vie. Briançon est une équipe qui est dure et intense, et Nice ferme bien le jeu, ne donne pas beaucoup de chances à l’adversaire. En playoffs c’est un peu comme ça que ça va jouer. Ce sont donc deux bons tests. »

Nice était venu s’imposer à Mériadeck le 10 janvier (1-3). Vous l’avez dans la tête avant de jouer chez eux ce mercredi ?

« On leur en doit une ! Pour nous, ce qui est important c’est de gagner le match, d’avoir cette mentalité de gagner à chaque fois. Il ne faut pas penser trop loin, mais à partir de maintenant, chaque match, chaque période, chaque shift est important. »

Quand on joue les derniers matchs du championnat, qu’on s’approche des playoffs, intensifie-t-on les entraînements, s’entretient-on encore plus ?

« Non, on doit faire le même boulot qu’on a fait toute la saison, garder nos habitudes. Qu’on soit en septembre ou en fin d’année, c’est la même chose. Il n’y a pas grand-chose qui change de ce côté-là. Mais c’est sûr qu’en playoffs, il y a une dimension de plus, c’est le facteur émotion. »

Tu as joué beaucoup de matchs de playoffs. Est-ce que des joueurs comme toi peuvent être utiles au groupe en apportant leur expérience ?

« Je pense que oui. Je vais essayer de jouer ma partie, de monter d’un cran mon jeu dans les playoffs. Mais en même temps, il y a beaucoup de joueurs dans l’équipe qui étaient là l’année dernière et il y a beaucoup d’expérience dans le vestiaire. Ça peut être un plus pour nous parce qu’il y a toujours des trucs imprévus qui arrivent, qu’on ne peut pas maîtriser. Ce qui est important, c’est de se concentrer sur ce qu’on peut contrôler. » 

Recueilli par Claude Canellas