Les actualités
Marseille joue un mauvais tour au Boxers
16 mars 2024
Marseille joue un mauvais tour au Boxers
Les Boxers de Bordeaux ont laissé échapper une belle occasion de se rapprocher des demi-finales en s’inclinant samedi à Mériadeck 2-3 aux tirs au but face à Marseille qui mène 3-2 dans la série des quarts de finale de la Synerglace Ligue Magnus.
Après les quatre premiers matchs disputés, deux à Bordeaux, deux dans la cité phocéenne, les deux adversaires étaient à égalité 2-2.
Dans cette série qui se joue au meilleur des 7 matchs (4 victoires pour accéder aux demi-finales), les Boxers n’ont plus le choix et devront obligatoirement s’imposer lundi à Marseille et mercredi à Mériadeck pour composter leur billet pour les demi-finales.
Samedi les Marseillais sont entrés tambours battants sur la glace, se créant les meilleures occasions d’ouvrir le score. Mais la meilleure chance était en faveir Enzo Carry parti dans le dos de la défense mais butait sur Marek Ciliak.
Mais quelques minutes plus tard, sur une erreur défensive des visiteurs, les Boxers ouvraient la marque par Kevin Spinozzi assisté de Baptiste Bruche (1-0, 14ème).
Peu après le début de la deuxième période, Marseille égalisait par Teddy Da Costa assisté de Roberts Kalkis (1-1, 23ème).
Mais six minutes plus tard, sur une supériorité numérique, les Bordelais reprenaient l’avantage par Loïk Poudrier assisté de Julius Valtonen (29ème).
Les deux équipes se retrouvaient à nouveau à égalité sur un but de Maxence Leroux assisté de Lucas Colombin et Guillaume Roussel (2-2, 31ème).
Les Boxers résistaient à la suite d’une faute de Mattéo Mahieu lui valant une pénalité de 5 minutes à laquelle s’ajoutait une pénalité de 2 minutes contre Enzo Carry qui contraignait les Bordelais à jouer durant 54 secondes à 3 contre 5.
Dans ce jeu de tranchées les Boxers trouvaient de nouvelles forces pour tenter de plier le match en 60 minutes mais en vain.
La prolongation ne changeait rien à l’affaire et c’est aux tirs au but que le sort du match devait se jouer. Et c’est Marseille qui tirait son épingle du jeu…
C.C.